Ci-dessous
le retour de deux lectrices confinées qui du coup se passent les
livres :
Alice,
la fille, (17ans)
et Marie-Pierre,
la mère (quelques années de plus) ont lu
Songe à la
douceur, de Clémentine Beauvais
conseillé par
Marie-Danièle lors du dernier club des lecteurs.
Résumé
: Tatiana retrouve dans le métro par hasard son ancien amour de
jeunesse, Eugène.
10 ans se sont écoulés...
10 ans se sont écoulés...
Cet
ouvrage est librement inspiré du roman d'Alexandre Pouchkine "Eugène
Onéguine"
Alice
: Clémentine Beauvais joue parfaitement avec la langue française.
En tant que narratrice omnisciente, elle raconte une histoire drôle,
romantique avec des jeux de suspens et surtout poétique. Le nombre
de citations que j'ai relevé dans ce livre ne se compte plus sur les
doigts de la main. Je vous invite à vous laisser transporter par le
douceur de ce roman.
Marie-Pierre
: Ce genre de littérature qui revisite les classiques (lorsque cela
est bien amené et c'est le cas ici) apporte un décalage surprenant,
drôle et tendre. Clémentine Beauvais joue avec l'écriture : vers,
magnifiques calligrammes (cf page 231)...et nous entraîne dans cette
réjouissante farandole de mots.
Si
vous aimez ce genre littéraire, le roman d'Anne Tyler "Vinegar
girl" librement inspiré de la "Mégère apprivoisée"
de William Shakespeare est aussi très cocasse.
En
résumé, fille et mère ont aimé ce roman, un sympathique partage
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